Un chef de service de Mondor distingué – La Pr. Marion Leboyer, responsable du pôle de psychiatrie du groupe hospitalier Henri-Mondor

Un chef de service de Mondor distingué – La Pr. Marion Leboyer, responsable du pôle de psychiatrie du groupe hospitalier Henri-Mondor

Marion Leboyer, professeur des universités et praticien hospitalier à l’UPEC, s’est vue décerner le Mogens Schou Award 2011 pour la recherche à l’occasion de la neuvième conférence internationale sur les troubles bipolaires, qui s’est tenue aux Etats-Unis à Pittsburgh du 9 au 11 juin 2011.

Mogens Schou Award : 9ème conférence internationale sur les troubles bipolaires Cette distinction internationale dédiée aux troubles bipolaires a été remise pour la première fois à une personnalité scientifique française. En effet, le Professeur Marion Leboyer s’est vue décerner le Mogens Schou Award 2011 pour la recherche à l’occasion de la neuvième Conférence internationale sur les troubles bipolaires, qui s’est tenue aux Etats-Unis à Pittsburgh du 9 au 11 juin 2011.

Ce Prix, l’un des plus prestigieux sur les troubles bipolaires, consacre l’importance du travail de recherche sur cette maladie chronique au pronostic sévère mené par le Professeur Leboyer et son équipe. Il salue également le dispositif de soins innovant de diagnostic et de dépistage mis en place dans le cadre de la Fondation FondaMental, dirigée par Marion Leboyer : les Centres Experts troubles bipolaires.

Marion Leboyer : une femme d’action en matière de soins et de recherche sur les troubles bipolaires Professeur des universités et praticien hospitalier, Marion Leboyer est rattachée à l’Université Paris-Est Créteil, responsable du Pôle de Psychiatrie du Groupe Hospitalier Mondor (AP-HP) et du laboratoire « psychiatrie génétique » de l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (Inserm U955). Elle assure également la direction de la Fondation FondaMental, fondation de coopération scientifique dédiée aux maladies mentales, créée en 2007 sous l’égide du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et dont elle fut l’instigatrice.

Animée par la conviction que les maladies mentales sont des « maladies comme les autres », elle investit le champ de la recherche et déploie une énergie farouche pour faire émerger la recherche française en psychiatrie sur la scène internationale.